A travers ces romans, assez représentatifs de la poétique de ces deux écrivains majeurs de l’univers francophone, se dégage un souffle littéraire qui, tout en revendiquant l’ancrage aux sources, crée une rupture tant sur le fond que sur la forme. Ils y parviennent par le biais d’un jeu sur la thématique et sur l’écriture. Ces composantes permettent de revisiter l’héritage aristotélicien tout en y insérant, avec subtilité, la flexibilité dont se réclame la modernité.